jeudi 18 février 2010

Je suis un fan de James Ellroy

J'avais adoré L.A. Confidential, son style télex explosif, halluciné.
Et là je plonge maintenant avec la même stupéfaction enchantée dans Underwordl USA où il reprend et améliore encore ce style unique de documentariste obsessionnel et pressé pour raconter les gangsters et les véreux des heures sombres de l'Amérique (Kennedy, Hoower and so on) comme si on y était.
Y'a que des méchants, c'est ça qu'est bien.
Et ils finissent tous mal.

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