jeudi 29 septembre 2016

Livre blanc Cigref sur la gouvernance de l'intelligence artificielle

L'intelligence artificielle (IA) repart de plus belle en ce moment. Pourtant, elle revenait régulièrement sur la scène, et en repartait tout aussi régulièrement depuis 40 ans. Pourquoi le mouvement d'aujourd'hui est-il plus important que ceux d'hier? Parce que, maintenant, il y a le Big Data et le cloud. L'IA a donc enfin de quoi se nourrir. C'est un ogre, et elle a les moyens de digérer grâce à la puissance de calcul du cloud. Résultat: les startup de machine ou autre deep learning fleurissent; les applications se répandent dans tous les secteurs. Avec, en priorité, tout ce qui concerne l'analyse de textes, d'images et de voix; et, plus généralement, de données non structurées.
Du coup, le Cigref publie son Livre Blanc sur la gouvernance de l'IA;  et c'est LA si vous voulez le lire.
Et ci-dessous c'est la fonction text to speech de Google/Blogger qui a l'air de marcher pas mal. Il m'a suffit dans l'éditeur Blogger de sélectionner mon texte, clic gauche et option Voix et hop ça lit. Par contre insérer un audio dans un blog Blogger c'est tout un binz et j'ai mis une heure à trouver la bonne solution: il faut mettre le fichier audio sur Drive, double-cliquer dessus, l'ouvrir dans une pleine fenêtre et là seulement choisir sur le menu en haut à droite (3 petits point verticaux) l'option "intégrer un élément (qui ne s'affiche que si le fichier audio est en plein écran allez savoir pourquoi); ça vous afficher un cadre moche dont vous pouvez seulement modifier hauteur et taille.

samedi 24 septembre 2016

Escobar, Juan Pablo

La vie est un boomerang. Si tu le lances avec amour, il revient avec amour. Si c’est avec violence, c’est plus de violence que tu as en retour.
Sebastian Marroquin, architecte argentin, de son vrai nom Juan Pablo Escobar, fils de Pablo Escobar

mercredi 7 septembre 2016

Céline, Louis-Ferdinand

Trois cents pages pour nous faire comprendre que Tutur encule Tatave, c'est trop.
Louis-Ferdinand Céline, à propos de Proust. Cité par Fabrice Lucchini in Comédie française