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Ça se passe en Pologne dans la forêt Krzywy-Las: des arbres bizarrement tordus mais l'air en pleine santé. J'ai imaginé qu'ils se murmuraient des messages de bonheur et d'amour et cela donne ce poème publié dans Galerie Amavero , dans facebook , instagram , linkedin  et que je vous pose ici aussi. dialogue de murmures Forêt de Krzywy-Las, dite Forêt tordue (curiosité naturelle) (photographie) le bonheur est un cri d'oiseau surpris un soir d’automne par une âme esseulée l’amour une langue de mer longtemps languide sur le sable avant de fuir vers l’horizon  flèches du contretemps  diamants bruts du présent lumières de l’inattendu le bonheur et l’amour dialogue de murmures  entre cœurs translucides Texte de Luc Fayad inspiré par la photographie de la forêt de Krzywy-Las (Pologne)

Vous connaissez Galerie Amavero , qui publie des "duos" d'oeuvres d'art (en majorité contemporain) et de poèmes écrits pour elle. C'est une galerie associative, collective, 100% bénévole, modérée par un Conseil artistique garant de la qualité des créations publiées. Après une petite année d'existence, la Galerie a publié 80 artistes et 20 auteur(e)s. Et nous accueillons en permanence toute proposition de texte écrit inspiré par une oeuvre d'art contemporain, n'hésitez pas à nous en soumettre. Lisez la charte et lancez-vous. Au cours de mes recherches quotidiennes de sources d'inspiration, j'ai fini par accumuler dans ma mémoire et mes tiroirs virtuels des dizaines d'œuvres que j'aime et qui m'interpellent mais pour lesquelles je n'ai pas (encore?...) écrit de poème. Ces petites collections rassemblées via le furetage sur le web et essentiellement sur facebook et instagram sont privées et difficilement partageables. Mais j'a

Photo prise par mon smartphone à mon insu. Enchères NFT possibles Mon smartphone dont je tairai le nom a décidé de suivre sa propre voie. À mon insu, il déclenche de plus en plus d’opérations en totale autonomie : il passe des calls téléphoniques ou vidéos à d'illustres inconnus, il fait des photos ésotériques (ci-contre en affichage ordi ou ci-dessous en affichage smartphone), on dirait du Sérusier, en plus fort, il réalise des films underground, unique-ment quand il est dans ma poche de pantalon. Le son est étonnant. Ceux-là, je vous les épargne mais on en verra peut-être un clip primé bientôt à un festival d’art méta-contemporain. Quand je le range dans ma poche de chemise pour qu'il me foute la paix, il s'empresse d'allumer son flash pour se régaler de la mine des gens fixant interloqués la lumière d'alien sourdre de mon coeur, et moi, soudain angoissé, je me demande pourquoi on me toise ainsi. Je commence à être inquiet, je sens qu’il va me jouer un sale tour e