vendredi 25 décembre 2015

Vidéo / Prise en main: J'ai testé pour vous la Box 4 G de Bouygues Telecom. Ca pulse !

J'ai eu la chance d'avoir entre les mains pendant quelques jours la Box 4G de Bouygues Telecom (fabriquée par Huawei) et…. Ca dépote ! Surtout quand vous venez d'une installation internet moyenne, ce qui est mon cas. Bref, vous déballez, vous branchez sur une prise électrique, et quelques secondes après, vous êtes connecté !
Il n'y a pas plus rapide à l'heure actuelle pour installer ex nihilo une connexion internet n'importe où… à condition bien sur d'être dans une zone couverte par la 4 G.
Dans mon cas (30 km à l'ouest de Paris), je suis à la limite de la couverture 4G de Bouygues Telecom, que je ne capte d'ailleurs pas avec mon smartphone (Nexus 5). Par contre, la Box 4G, elle, capte le signal (3 barres sur 5), à condition de l'installer au bon endroit, en l'occurrence chez moi au grenier devant une lucarne et dans une direction bien précise (vers le nord)!…
J'ai branché dessus un répéteur CPL (courant porteur en ligne) wifi Devolo (modèle 500 dLanWifi) et le signal est bien répété sans perte de vitesse dans toute les pièces où j'ai branché des répéteurs. Comme l'installation est dans le grenier, le routeur et le répéteur sont branchés sur la même multiprise à rallonge, ce qui est fortement déconseillé dans les manuels mais, pour l'instant, ça marche!
Et l'heureuse surprise est là : les quelques tests de mesure de débit que j'ai faits me montrent une vitesse de téléchargement descendant (download) de 12 à 14 Mbps et , surtout, une vitesse de téléchargement montant (upload) de près de 4 Mbps.
Le gain est évident. Il suffit de comparer avec ma ligne ADSL, également Bouygues Telecom, qui me donne péniblement un 4 Mbps en download et un 500 Kbps en upload. Mais l'opérateur n'y peut rien, c'était la même chose avant avec Orange, je suis en bout de ligne et à plus de 3 km du DSLAM. Mais, côté GSM, ça s'est amélioré, au moins mon mobile BT est opérationnel alors qu'avant, avec SFR, je ne captais quasiment nulle part dans la maison.
Par contre, le débit du routeur 4 G semble plus versatile qu'avec l'ADSL et il lui arrive de descendre à 4 Mbps en download puis il repart gaiement à 12 Mbps. Allez savoir pourquoi. Probablement parce que je suis en limite de couverture. En tout cas, pour un usage professionnel régulier, cette instabilité du débit en limite de zone me paraît être un gros frein.
Au passage, je signale que j'ai choisi finalement Bouygues Telecom pour l'ADSL et le mobile parce que sur l'ensemble de mes forfaits (2 lignes internet et 2 mobiles), par rapport à des abonnements Orange et SFR,  j'ai gagné près de 150 euros par mois !…
Enfin, dernière précision et non des moindres: vu le niveau de prix, il s'agit pour l'instant d'une offre professionnelle: 99 € HT par mois, avec une limite de 50 Go. Au-delà, la connexion est facturée 5 €/Go.
La preuve que c'est professionnel: il n'y a pas de bouquet TV proposé dans l'offre !… (0n peut bien sûr regarder la télé sur le web mais ce n'est pas discriminant car par exemple Canal + diffuse correctement sur le web à partir de 1,5 Mbps).
La rumeur dit que Bouygues Telecom sortirait bientôt un routeur 4G plus performant avec une petite antenne extérieure qui lui permettrait de capter à 20 km de l'émetteur.
J'attends cela avec impatience !

jeudi 24 décembre 2015

Nietzsche, Frederich

Nous n'avons jamais cherché à nous connaître. Comment se pourrait-il alors que nous nous trouvions un jour?
Frederich Nietzsche. Généalogie de la morale. Cité dans Qui sui-je... de Richard David Precht.

mercredi 23 décembre 2015

Hoffman, Reid

Un entrepreneur, c'est quelqu'un qui se jette d'une falaise et construit un avion sur le chemin de la descente.
Reid Hoffman,  cofondateur de LinkedIn. Cité par Marc J. sur FB

mardi 22 décembre 2015

Rousseau, Jean-Jacques

J'ai quelque pressentiment qu'un jour cette petite île étonnera l'Europe.
Jean-Jacques Rousseau, parlant de la Corse, 1762. Cité par Gilles S. sur FB.

Zweig, Stefan

Toute la psychologie nous enseigne que les rêves sont des désirs contrariés, l’imagination qui s’élève au dessus de la réalité et qu'est-ce que la poésie, si ce n'est un rêve éveillé de l'artiste?
Stephan Zweig Lettre à Rudolf G. Binding

Zweig (Stefan) : Avant DE quitter la vie...

Avant de quitter la vie de ma propre volonté et avec ma lucidité, j’éprouve le besoin de remplir un dernier devoir : adresser de profonds remerciements au Brésil, ce merveilleux pays qui m’a procuré, ainsi qu’à mon travail, un repos si amical et si hospitalier. De jour en jour, j’ai appris à l’aimer davantage et nulle part ailleurs je n’aurais préféré édifier une nouvelle existence, maintenant que le monde de mon langage a disparu pour moi et que ma patrie spirituelle, l’Europe, s’est détruite elle-même.
 Mais à soixante ans passés il faudrait avoir des forces particulières pour recommencer sa vie de fond en comble. Et les miennes sont épuisées par les longues années d’errance. Aussi, je pense qu’il vaut mieux mettre fin à temps, et la tête haute, à une existence où le travail intellectuel a toujours été la joie la plus pure et la liberté individuelle le bien suprême de ce monde.
Je salue tous mes amis. Puissent-ils voir encore l’aurore après la longue nuit ! Moi je suis trop impatient, je pars avant eux.
Stefan Zweig, Pétropolis, 22-2-42. Lettre d'adieu

lundi 21 décembre 2015

Precht, Richard David

Le monde, mon fils, dit le papa poisson à son fiston, est une grosse boîte remplie d'eau.
Richard David Precht, philosophe. in Qui suis-je, et si je suis, combien?

Schopenhauer, Arthur

Nous ne sommes que des êtres temporels, finis, éphémères, fantomatiques qui passent comme des ombres.
Arthur Schopenhauer. cité in Qui suis-je et, si je suis, combien, de Richard David Precht

Anonyme

Le corps humain est composé à 90% d'eau. Fondamentalement, on est juste un concombre avec de l'anxiété. (une fraise aussi, ou un brocoli).
Anonyme cité par Marie-Pierre. B sur FB et complété par Luc Fayard.

Melville, Herman

Je suis obsédé par les destinations éternelles, celles hors d'atteinte. J'aimerais voyager sur ces eaux sombres.
Herman Melville. Moby Dick.

Péguy, Charles

Rien n’est plus vieux que le journal de ce matin, mais Homère est toujours jeune.
Charles Péguy Cité par Olivier Quellier.

dimanche 20 décembre 2015

samedi 19 décembre 2015

Wilde, Oscar

Le journalisme est illisible. Et la littérature n’est pas lue.
Oscar Wilde, cité par Olivier Quellier.

Hugo (Victor) : Il faudrait multiplier les écoles

Il faudrait multiplier les écoles, les chaires, les bibliothèques, les musées, les théâtres, les librairies ; il faudrait multiplier les maisons d'études, pour les enfants, les maisons de lecture pour les hommes ; tous les établissements, tous les asiles où l'on médite, où l’on s'instruit, où l’on se recueille, où l'on apprend quelque chose, où l'on devient meilleur, en un mot ; il faudrait faire pénétrer de toutes parts la lumière dans l'esprit du peuple, car c'est par les ténèbres qu'on le perd.
Victor Hugo. Discours à l’Assemblée Nationale. 11 novembre 1848. Cité par Philippe B. sur FB

Jaurès (Jean) : Ce que nous ne voulons pas

Ce que nous ne voulons pas, c’est que le capital international aille chercher la mian-d’oeuvre sur les marchés où elle est le plus avilie, humiliée, dépréciée, pour la jeter sans contrôle et sans réglementation sur le marché français, et pour amener partout dans le monde les salaires au niveau des pays où ils sont le plus bas. C’est en ce sens, et en ce sens seulement, que nous voulons protéger la main-d’oeuvre française contre la main-d’œuvre étrangère, non pas je le répète, par un exclusivisme chauvin mais pour substituer l’internationale du bien-être à l’internationale de la misère.
Jean Jaurès. Discours « Pour un socialisme douanier ». 17 février 1894. Cité par Fabrice B. sur FB.

Vian (Boris) : Ils cassent tout

Ils cassent le monde
En petits morceaux 
Ils cassent le monde 
A coups de marteau 
Mais ça m'est égal 
Ca m'est bien égal 
Il en reste assez pour moi 
Il en reste assez 
Il suffit que j'aime 
Une plume bleue 
Un chemin de sable 
Un oiseau peureux 
Il suffit que j'aime 
Un brin d'herbe mince 
Une goutte de rosée 
Un grillon de bois 
Ils peuvent casser le monde 
En petits morceaux 
Il en reste assez pour moi 
Il en reste assez 
J'aurais toujours un peu d'air 
Un petit filet de vie 
Dans l'oeil un peu de lumière 
Et le vent dans les orties 
Et même, et même 
S'ils me mettent en prison 
Il en reste assez pour moi 
Il en reste assez 
Il suffit que j'aime 
Cette pierre corrodée 
Ces crochets de fer 
Où s'attarde un peu de sang 
Je l'aime, je l'aime 
La planche usée de mon lit 
La paillasse et le châlit 
La poussière de soleil 
J'aime le judas qui s'ouvre 
Les hommes qui sont entrés 
Qui s'avancent, qui m'emmènent 
Retrouver la vie du monde 
Et retrouver la couleur 
J'aime ces deux longs montants 
Ce couteau triangulaire 
Ces messieurs vêtus de noir 
C'est ma fête et je suis fier 
Je l'aime, je l'aime 
Ce panier rempli de son 
Où je vais poser ma tête 
Oh, je l'aime pour de bon 
Il suffit que j'aime 
Un petit brin d'herbe bleue 
Une goutte de rosée 
Un amour d'oiseau peureux 
Ils cassent le monde 
Avec leurs marteaux pesants 
Il en reste assez pour moi 
Il en reste assez, mon cœur
Boris VIAN, Poésies

Clayton Christensen: Quand les Géants échouent...


Synthèse librement traduite par moi d’un article du New Yorker When Giants Fail – What business has learned from Clayton Christensen, de Larissa Macfarqhar.

Pourquoi le succès d’une grande entreprise est-il si difficile à maintenir ?
Est-ce la faute de managers stupides ou incompétents ? Non, il y en a partout. Est-ce à cause d’une évolution trop rapide de la technologie ? Non.  Les grandes entreprises ne sont pas si en retard que cela. C’est à cause de la disruption.
Exemple de l’acier : l’acier a été fabriqué pendant des années par des usines intégrées de grande taille ; puis sont apparues des mini-usines avec des fours électriques et un coût inférieur. Mais aucune des grandes aciéries n’a voulu faire de mini-usine. Et aujourd’hui elles ont quasiment toutes fait faillite parce que étape par étape les mini-usines ont attaqué tous les segments du marché.
Ce qui s’est passé : les mini-usines ont d’abord fourni le marché des petites barres d'armatures sur lesquelles les grandes aciéries ne gagnaient pas d’argent. Elles leur ont donc facilement abandonné ce marché, bon débarras. Et c’est ainsi qu’elles ont fini par perdre la partie quand les mini-usines se sont attaquées à d’autres segments du marché.
Autre exemple : l’évolution de l’industrie des disques durs dans les années 80 et 90.  Les fabricants de disques 14 pouces ont été chassés par de nouveaux fabricants de disques 8 pouces, eux-mêmes évacués un peu plus tard par de nouveaux fabricants de disques 5 pouces ¼. Et pourtant à chaque fois le nouveau disque n’était pas technologiquement supérieur.
Ce ne sont pas les meilleures nouvelles technologies qui mettent les grandes entreprises à genoux,  ce sont même souvent les plus mauvaises ! Mais les nouveaux produits ont tous en commun d’être bas de gamme et pas chers et ce type de produits n’intéresse pas les grandes entreprises qui se focalisent toujours sur les produits haut de gamme à forte marge.
transistor sony années 1950
Autre exemple : quand Sony sort son transistor dans les années 50, une petite radio portable assez minable, celui-ci n’a a priori aucune chance contre les grandes marques de postes radio confortablement installées dans les foyers comme RCA ou Zenith. Mais le succès est venu de l’adoption massive par une nouvelle classe de consommateurs : les teen-agers. Et puis le transistor s’est amélioré… Idem pour les téléphones qui prenaient de très mauvaises photos au début mais si faciles à utiliser et qui maintenant sont aussi bons que des appareils photos. 
C’est toute la théorie des produits disruptifs de Christensen : ils ne sont pas forcément plus performants au départ mais ils perturbent fortement le marché.  Problème pour la grande entreprise: à l’image du transistor, comment faire la différence entre un mauvais produit qui va être adopté par la nation tout entière et un mauvais produit tout court ? La seule stratégie acceptable pour une grande entreprise semblait de se focaliser sur les produits à marge élevée ou d’attendre que le marché d’un nouveau produit soit assez visible et grand pour devenir intéressant, mais alors il est trop tard.
Toyota n’a pad débarqué aux Etats-Unis avec la Lexus, dit Christensen. Ils sont venus avec une petite voiture compacte et rustique la Corona. Et Ford et General Motors l’ont regardé faire et monter en gamme et en qualité.
Christensen milite pour que la grande entreprise crée sa propre petite entreprise, une spin-off,  loin de la maison mère, qui fonctionne comme une startup et qui ne travaille que sur de nouveautés bas de gamme sans se préoccuper de savoir si c’est raisonnable pour le groupe.
Pourquoi les grandes entreprises ont-elles mis si longtemps à suivre ses conseils ?  Pour lui, cela vient de la façon de mesurer le succès en ratios et non pas en chiffres. Retour sur actif net, pourcentage de marge brute, taux de rendement interne, tous ces rations ont dominé les quarante dernières années, imposés par ce que Christensen appelle le Temple de la Nouvelle Finance. On est arrivé à penser que le plus important n’était pas le bénéfice en valeur absolue mais le pourcentage de profit sur chaque dollar investi.
intel celeron 300 lancé en 1998
Le premier à suivre Christensen fut Andy Grove qui milita pour sortir Celeron, une puce pas cher pour les PC de gamme qui rafla 35% du marché en un an. Et au Comdex de 1999, Andy Grove montra au public le livre de Christensen « The Innovators Dilemna » en disant que c’était le livre le plus important qu’il ait jamais lu !
Christensen sait aussi se moquer de lui-même : heureusement que Steve Jobs n’a jamais fait appel à lui, dit-il, car il lui aurait dit qu’il était persuadé que l’iPhone ne marcherait pas . Il le voyait comme un téléphone trop cher. C’est plus tard qu’il a compris qu’il perturbait le marché des ordinateurs portables.
Il peut aussi travailler avec une étude sur le terrain comme avec ce fabricant-vendeur de milkshake qui n’arrivait pas à améliorer ses ventes malgré plein de nouveautés. En fait en interrogeant les clients, on s’aperçut que les principaux acheteurs avaient une longue route à faire et que le milkshake bien visqueux avec sa paille était le seul produit qu’ils pouvaient consommer sans risque d’une main en conduisant de l’autre. Résultat : on rendit le milkshake encore plus visqueux et les ventes repartirent. Sans oublier les astuces habituelles ; la machine de distribution à l’entrée du magasin et des cartes prépayées pour que cela aille vite.
Cette idée que les gens ne cherchent pas un produit mais une solution à leurs problèmes n’a évidemment pas été inventée par Christensen. Theodore Levitt, de Harvard Business Scholl, aimait à dire que dans une quincaillerie les gens ne cherchent pas un foret de ¼ de pouce mais à faire un trou de ¼ de pouce.
Pour la petite histoire, il se souvient de sa rencontre à la Maison Blanche avec le secrétaire de la Défense de Clinton, William Cohen, et tous les chefs d’Etat-Major des Armées. Et Cohen lui dit : « Les soviétiques c’est les grosses aciéries et le terrorisme les mini-usines et nous on a besoin de savoir comment se reconfigurer face à eux ! » Quelque temps plus tard le gouvernement créait une branche spéciale anti-terrorisme à Norfolk, Virginie. source texte- source photo

vendredi 18 décembre 2015

Mandela, Nelson

Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j'apprends.
Nelson Mandela, cité entre autres par Sylvie F. sur Facebook.

Dio vi salvi, Regina

Dio vi salvi Regina
E Madre Universale
Per cui favor si sale
Al Paradiso.

Voi siete gioia e riso
Di tutti i sconsolati,
Di tutti i tribolati,
Unica speme.

A voi sospira e geme
Il nostro afflitto cuore,
In un mar di dolore
E d'amarezza.

Maria, mar di dolcezza
I vostri occhi pietosi,
Materni ed amorosi
A noi volgete.

Noi miseri accogliete
Nel vostro santo Velo
Il vostro Figlio in Cielo
A noi mostrate.

Gradite ed ascoltate,
O Vergine Maria,
Dolce, clemente e pia,
Gli affetti nostri.

Voi dei nemici nostri
A noi date vittoria ;
E poi l'Eterna gloria
In Paradiso.
Que Dieu vous garde, Reine,
Et Mère universelle
Par qui on s'élève
Jusqu'au Paradis.

Vous êtes la joie et le rire
De tous les attristés,
De tous les tourmentés,
L'unique espérance..

Vers vous soupire et gémit
Notre cœur affligé
Dans une mer de douleur
Et d'amertume.

Marie, mer de douceur,
Vos yeux pieux
Maternels et aimants,
Tournez-les vers nous.

Nous, malheureux, accueillez-nous,
En votre saint Voile
Votre fils au Ciel
Montrez-le nous.

Acceptez et écoutez
Ô Vierge Marie,
Douce, clémente et pieuse,
Nos marques d'affection.

Sur nos ennemis
Donnez-nous la victoire ;
Et puis l'Éternelle gloire
Au Paradis.

Hymne national corse. Se chante sur l'air de "Quand Jésus mourait au calvaire"

Abbé Pierre

Les hommes politiques ne connaissent la misère que par les statistiques. On ne pleure pas devant des chiffres.
Abbé Pierre cité par Francis D. sur FB

Anonyme

Question: Comment peut-on soulever un éléphant avec une seule main?  Réponse: on ne peut pas. Ça n'existe pas un éléphant avec une seule main.
Anonyme. Cité par Sarah d. B. sur FB

Kant

Que puis je savoir? Que dois je faire? Que suis je en droit d'espérer ? Qu'est ce que l'homme ?
Kant cité par Richard David Precht dans "Qui suis je et si je suis combien?" pour qui ces 4 questions résument les grandes questions de l'humanité.

lundi 7 décembre 2015

Gramsci, Antonio

Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair obscur surgissent les monstres.
Antonio Gramsci, cité par Laetitia K. dans FB

Renaud

Chaque fois que nous votions pour eux, nous faisons taire ce cri: "Ni Dieu,  ni maîtres! ". Ils se sont faits Dieu et nous, une fois de plus, on s'est fait mettre.
Renaud, cité par Gilbert I. sur FB

Freeman, Morgan

Si quelqu'un vous traite d'amateur, rappellez-lui que ce sont des amateurs qui ont fait l'arche de Noé et des professionnels le Titanic.
Morgan Freeman, cité par Marie - Pierre B. sur FB.

dimanche 6 décembre 2015

jeudi 3 décembre 2015

mercredi 2 décembre 2015

Logan D. L. (publié par)

Si j'avais des millions, je serai millionnaire. Si j'avais des milliards, je serai milliardaire. Mais je n'ai que des centimes, je suis sentimental.
Publié par Logan D. L. sur FB

Audiard, Michel

J'ai fait du cinéma parce que c'est la seule forme de filouterie qui ne comporte pas de risque pénal.
Michel Audiard, interviewé par Bertrand plier, archives Ina.