mardi 25 juin 2013

Je vous ai spammé par erreur, mille excuses

Voulant tester un nouveau serveur photo-vidéo, Stream Nation, lancé par le fondateur de Deezer, Jonathan Benassaya , j'ai rempli les formulaires d'inscription à toute vitesse et évidemment j'ai cliqué trop vite sur le mauvais bouton qui a immédiatement envoyé un spam à tous mes contacts Gmail.
A tous, je présente mes plus humbles excuses pour ce spam involontaire et je me suis immédiatement désinscrit de Stream Nation qui ne m'a pas assez prévenu de ce que mon clic fatal allait déclencher.
Celui qui a inventé le bateau a aussi inventé le naufrage, dit Lao Tseu...

Mon profil vaut 217 euros, quelle déception!

Je suis très déçu: mon profil internet ne vaut que 217 euros par mois. C'est le montant estimatif de chiffre d'affaire généré par les acteurs du marché sur mon type de profil internet via par exemple la vente directe de mes données, des bannières publicitaires sur internet, des offres postales, de l'emailing, du spam ou l'envoi de newsletters, etc.
Ce n'est pas moi qui le dit mais yesprofile.com qui apparemment veut nous encourager, je n'ai pas bien compris comment, à redevenir propriétaire de notre profil, sous-entendu il n'y a pas de raison que ce soit les autres qui gagnent de l'argent sur votre dos!
Le profil en question est anonyme. J'ai simplement répondu à quelques questions du genre : combien d'adresses e-mail avez-vous? sur quels réseaux sociaux êtes-vous inscrits? etc.
C'est un peu comme ma retraite de prof : après 4 années d'enseignant vacataire à l'Université de Paris-Dauphine, je viens de toucher 350 euros pour ma retraite... Un versement unique, bien sûr, pas mensuel !

lundi 24 juin 2013

Demain, j'interviewe Jim Lowell : "Houston, we have a problem..."

Grand moment d'émotion pour moi demain matin à USI 2013...
Où je vais interviewer (en webtv) Jim Lowell, le commandant d'Apollo 13 et sa fameuse phrase historique: "Houston, we have a problem..."
En fait, selon The Phrase Finder, ce n'est pas lui qui l'a dit le premier c'est son comparse John Swigert et la phrase exacte, répétée par les deux hommes, est précisément"Houston we've had a problem..." qui a ensuite été simplifiée pour les besoins du film avec Tom Hanks dans sa formulation la plus connue.
Jim Lowell raconte son histoire à sa manière et tente d'en tirer quelques enseignements utiles à tous ceux qui se retrouvent en gestion de crise.
Ça doit faire du monde en ce moment...
source image

J'interviewe Bob Metcalfe (et d'autres) à USI 2013

Le studio télé est bien placé: à la Corbeille de la Bourse au Palais Brongniart, là où se décidaient les cours de quelques grandes sociétés triées sur le volet et débattues à la voix jusqu'au 10 juillet 1987, dernier jour de cotation à la Corbeille.
J'interviewe pendant deux jours une belle brochette de VIP de la high-tech, dans le cadre d'USI 2013, l'Université du Système d'Information, organisée par Octo Technology. Deux jours de conférences et de rencontres, sur la hightech et la société numérique.
La brochette:

mardi 18 juin 2013

Revue des Deux Mondes : délicieusement anachronique

Fondée en 1829 "dans un siècle tout positif, dans une société qui tend à perfectionner son organisation...." la Revue des Deux Mondes se donnait comme mission de publier des informations concrètes sur tous les pays du monde, pour s'inspirer de leurs institutions et de leur "administration pratique".
Aujourd'hui, elle est toujours là parce qu'elle est sponsorisée par un des plus riches entrepreneurs de France, Marc Ladreit de Lacharrière (83 ans), qui plus est membre de l'Institut. Les pays du monde et le pratique ont disparu, remplacé par un centrage intellectuel très franco-français et des chroniques et essais qui se veulent de haute tenue. Pour l'international, il reste une chronique diplomatique qui se répand sur de longues longues pages. Comme la plupart des sujets d'ailleurs. Comme si la pensée se distinguait du reste de l'écrit par sa longueur sans redouter qu'elle puisse se muer en langueur au fil des pages (14 pages de NKM, c'est vous dire!...)
Mais pour nous sauver de l'ennui, la dernière édition (juin 2013) nous livre un très étonnant "Proust vu d'Amérique", illustré par la quasi seule illustration de la revue, celle de la couverture, façon Andy Warhol. On célèbre en effet cette année le centenaire de la parution, le 14 novembre 1913, du livre Du côté de chez Swann, premier tome d’A la recherche du temps perdu, de Marcel Proust.
Ce sujet de Proust et l'Amérique ou Combray vu de Broadway et la célébration d'une œuvre d'un million de mots à l'heure des tweets de 140 caractères (soit environ 23 mots) définissent bien le délicieux anachronisme de la Revue. Je suis sûr qu'elle s'en revendique !

Je n'ai pas envie d'êtré présenté à 12 millions de personnes !

On dit ça... Mais en même temps on se pousse du col, on s'imagine  très important dans la planète réseau avec un tel réseau... Sauf qu'il y en a des milliers comme moi...
A gauche, mes dernières stats LinkedIn; avec 2 000 relations directes, je peux être "présenté" à 12 millions de personnes, telle une promise nubile à son roi pervers dans Game of Thrones.
Waouh !
Et comme je suis un membre très important de LinkedIn, n'est-ce pas, je peux même écrire à 225 millions de personnes. Pour leur dire quoi:

vendredi 14 juin 2013

Un bon titre d'article dans un quotidien, ça ne mange pas de pain, et ça fait du bien

Il fut un temps déraisonnable où les journalistes et les secrétaires de rédaction se donnaient le temps de plaquer de jolis titres sur leurs articles. L'anecdote la plus connue des grognards des salles des rédactions est celle sur le jeune stagiaire qui vient voir le vieux secrétaire de rédaction à l'heure du bouclage:
- Je ne trouve pas de titre à mon papier, dit-il désespéré.
- Il parle de tambour?  demande l'ancien
- Ben non!
- De trompette?
- Mais non !
- Eh bien, titre-le: Sans tambour ni trompette !...
De temps en temps, le Parisien s'amuse avec bonheur dans les titres de faits d'hiver. Je me souviens , il n'y a pas si longtemps, de: "La femme découpée en morceaux avait tué son mari": je vous laisse deviner le scénario.
Aujourd'hui, le quotidien fait un louable effort avec ce titre sur les voitures brûlées: c'est bien !
Mais dans les faits divers, personne sans doute ne fera mieux que Félix Fénéon, l'inventeur du fait divers en 3 lignes, dont je parlais en 2004 dans un de mes premiers articles de blogueur!...
- voir deux titres célèbres

Vidéo / Spark, accélérateur de start-up: interview de l'incubateur en chef Jean Ferré (Microsoft)


Microsoft a créé à Paris, rue du Sentier, un incubateur dénommé Spark (étincelle) , qui agit comme un accélérateur de start-up: une promo de 15 jeunes créateurs cocoonés pendant 3 mois avec mentors business et conseils techniques et marketing à leurs côtés, pour les aider à passer de l'état de projet à celui de jeune entreprise opérationnelle. Près de 50 projets aidés par an. J'interviewe le responsable Spark, Jean Ferré, Directeur Développeurs, Plateformes et Écosystème de Microsoft qui fait le point sur l'incubateur et la vision de Microsoft sur les technologies émergentes.

lundi 10 juin 2013

Un disque de 1 Teraoctet pour 7 mm d'épaisseur et 110 euros

D'accord c'est un disque OEM*, à intégrer dans un ordinateur donc, mais il est alléchant et rejoint les nouveaux produits de stockage dont je parle ici de temps en temps (voir le disque SSD carte de crédit).
C'est un produit WD, filiale de Western Digital, il s'appelle WD Blue, il est au format 2,5 pouces et il mesure 7 mm d'épaisseur, ce qui en fait, dixit Western Digital, le plus fin du marché pour cette capacité de 1 To (1 téraoctet soit 1 000 gigaoctets), à part bien sûr le SSD carte de crédit cité en lien ci-dessus!
Et s'il vous plait vraiment, rien ne vous empêche de trouver un boîtier de raccord USB, il y en a plein le marché, pour vous en faire un disque externe mais vous risquez de perdre en performances !
Intel, Acer, Asus ont déjà dit tout le bien qu'ils pensaient de ce disque qui permet d'accroître les capacités de stockage des PC ultra-fins.
*OEM Original Equipment Manufacturer ou fabricant d'équipements intégrés par d'autres fabricants

mercredi 5 juin 2013

Vidéo / L'analytique pour agir: interview de Jean-Paul Isson, VP de Monster

Basé à Montréal, spécialiste mondial reconnu de l'analytique, et auteur du livre "Win with Business Analytics", Jean Paul Isson, vice-président de Monster: je l'interviewe ici sur sa vision de l'analytique et du Big Data. Une vision proactive: analyser et prédire peut-être mais agir surtout ! Jean-Paul Isson voit également l'analytique déborder largement le cadre du business pour aller vers l'humanitaire ou la santé. Exemples à l'appui.