Au fur et à mesure que les analyses des votes se précisent, on découvre une France divisée, avec de multiples fractures: les urbains ont voté oui, les campagnards non; les vieux non, les jeunes oui... Une analyse encore plus précise vient de sortir chez Ipfop: - les gauchers ont voté non dans les bureaux ou le bulletin non était posé à gauche du oui; et inversement ... - les ambidextres hésitent encore; - les daltoniens n'ont pu se départager (quand les bulletins étaient en couleur); - les Normands non plus, comme d'habitude; - les hommes ont dit oui, les femmes non; comme d'habitude; - les grévistes n'ont pas pu voter, les religieuses non plus: ils rattrapaient le lundi de Pentecôte; - les 3 millions de bulletins corses ont été invalidés; de toute façon, les urnes avaient sauté dans un attentat; - les myopes ont voté oui, les presbytes non; sauf quand ils avaient oublié leurs lunettes; - les incontinents ont voté oui parce que cela allait plus vite (la queue était moin