La mort est le père de l'être humain, ni sévère ni injuste, mais tendre, chaleureux et compréhensif. Et pourtant l'être humain s'accroche à sa mère qui est la vie, à ce qui est connu et compréhensible. Car tous nous craignons l'inconnu.
(Légende inuit, dans Arlük, Le chant pour celui qui désire vivre)
(Légende inuit, dans Arlük, Le chant pour celui qui désire vivre)
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