Mon amie Isabelle, peintre et graveur, travaille sur des thèmes comme ""OMBRES", "AIR" ou "EAU". Dernièrement, elle nous faisait visiter son atelier pour nous présenter ses derniers tableaux réunis sous le thème "HORIZON". Voici ce que dit un commentateur de sa démarche:
"Entre rêve et introspection, Isabelle Mestchersky nous emmène dans un univers non texturé, liquide et aérien. Lumineuse et transparente, la couleur qu’elle diffuse sur la toile ou sur le papier suggère des images intangibles, immatérielles et atemporelles qui se prolongent à l’infini dans l’espace.
Le regard est emporté dans un monde qui continue ailleurs, qui flotte entre le visible et le non visible, entre le plein et le vide.
Ces espaces d’eau et d’air, sources constantes de son inspiration, sont à la fois réels et irréels, évanescents et insaisissables, mais toujours impalpables.
Les formes légères se nouent et se dénouent, tournoient, s’effacent et ressurgissent dans une réalité non figée, dans un absolu sans limite et hors du temps qui nous laissent libres de rêver.
Parfois, des masses, qui font peut-être référence aux origines du monde, créent un choc entre matière et antimatière, comètes créatrices de mouvement toujours repoussées par la couleur de la fluidité et de la transparence : le blanc.
Dans cette lumière pure, décomposée, recomposée, l’imaginaire devient fluide et léger et navigue dans une substance vaporeuse dans laquelle évoluent des nébuleuses en suspension.
Et voici la petite mise en scène publiée dans Galerie Amavero :
La mer m’a dit dans un murmure (…)
Je suis le temps, l’espace (…)
Je suis l’horizon
(extrait du poème Murmure, tiré du recueil Amavero, de Luc Fayard, L'Harmattan, 2019)
"Entre rêve et introspection, Isabelle Mestchersky nous emmène dans un univers non texturé, liquide et aérien. Lumineuse et transparente, la couleur qu’elle diffuse sur la toile ou sur le papier suggère des images intangibles, immatérielles et atemporelles qui se prolongent à l’infini dans l’espace.
Le regard est emporté dans un monde qui continue ailleurs, qui flotte entre le visible et le non visible, entre le plein et le vide.
Ces espaces d’eau et d’air, sources constantes de son inspiration, sont à la fois réels et irréels, évanescents et insaisissables, mais toujours impalpables.
Les formes légères se nouent et se dénouent, tournoient, s’effacent et ressurgissent dans une réalité non figée, dans un absolu sans limite et hors du temps qui nous laissent libres de rêver.
Parfois, des masses, qui font peut-être référence aux origines du monde, créent un choc entre matière et antimatière, comètes créatrices de mouvement toujours repoussées par la couleur de la fluidité et de la transparence : le blanc.
Dans cette lumière pure, décomposée, recomposée, l’imaginaire devient fluide et léger et navigue dans une substance vaporeuse dans laquelle évoluent des nébuleuses en suspension.
Et voici la petite mise en scène publiée dans Galerie Amavero :
La mer m’a dit dans un murmure (…)
Je suis le temps, l’espace (…)
Je suis l’horizon
(extrait du poème Murmure, tiré du recueil Amavero, de Luc Fayard, L'Harmattan, 2019)
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