Chaque fois qu’on pose un mot sur une chose, c’est comme un veston qu’on accroche à une patère : la patère disparaît.
Félicien Marceau, dans Le corps de mon ennemi, cité par Alain Finkielkraut dans son discours de réception à l'Académie française, le 28 janvier 2016.
Félicien Marceau, dans Le corps de mon ennemi, cité par Alain Finkielkraut dans son discours de réception à l'Académie française, le 28 janvier 2016.
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